Mac switchover

Publication : 3 décembre 2006. Dernière mise à jour : 4 mai 2024.

Mon employeur m’a équipé depuis la semaine dernière d’un tout nouveau MacBook Pro. C’est à la fois la curiosité, l’attrait pour OS X, ainsi que la bonne réputation du matériel qui m’ont fait préférer un Mac sous OS X à un PC sous Linux (ou Windows).

En vrac, mes premières impressions :

l’interface est vraiment très belle. Un peu déroutante certes, mais je la trouve agréable, et on s’y fait vite. De plus, ce n’est pas du tout souris comme j’aurais pu le craindre : la plupart des fonctions ont un raccourci clavier ;
le clavier n’est décidément pas standard, ce qui est un peu embêtant, surtout en environnement hétérogène. Ceci dit, je suis content car il y a une touche morte pour l’accent aigu :-) ;
l’importation de mes e-mails depuis KMail vers Mail.app est relativement aisée en utilisant le script adapté. Attention, il faut supprimer les espaces dans les noms de dossiers avant de lancer ce script ;
déception en revanche en ce qui concerne la synchronisation de mon Palm : les catégories ne sont pas conservées dans iCal. C’est pour moi rédhibitoire : j’attends de trouver une solution ;
l’accès aux partages SMB est de qualité très moyenne : fréquents plantages du Finder, en particulier lorsque la connexion réseau disparaît. Il m’a été impossible de le tuer, même avec un kill -9 ou en éteignant la machine avec halt (il va sans dire que l’extinction de la machine par le GUI est dans ce cas inopérante) ;
l’environnement en ligne de commande est bien fourni dans sa configuration par défaut, avec notamment emacs, ssh, cvs, etc. Par contre, Subversion manque à l’appel ! Il faut l’installer à la main.

Kit de survie

J’ai très rapidement installé les programmes suivants :

la distribution MacTeX, qui comprend à la fois une version de teTeX, l’éditeur TeXShop et d’autres outils, notamment LaTeXiT, qui permet d’insérer des équations TeX dans tous types de documents. Tout est bien configuré par défaut : j’ai tout de suite pu compiler ma thèse sans souci pour tester l’installation ;
l’éditeur de textes Smultron, qui n’a visiblement pas à rougir de la comparaison avec Kate ;
comme sous d’autres plate-formes, les classiques Firefox et VLC.