Une petite balade (5-6 km) à proximité de Milon-la-Chapelle dans les Yvelines. Voir l’itinéraire sur Google Maps.
Départ à proximité de Milon-la-Chapelle (point de cote 92 sur la D46). Suivre la D46 jusqu’au transformateur (point de cote 96), et prendre à droite le chemin balisé à proximité du Rhodon. Au moulin de Fauveau tourner à gauche et marcher jusqu’au coude de la D46 (point de cote 107).
Prendre alors le chemin Jean Racine, qui s’élève dans la forêt départementale de la Madeleine, et au sommet, obliquer sur le chemin balisé, en direction du carrefour de Milon, puis rejoindre le point de départ en descendant la route.
Notes :
- en voiture, il est possible de partir du carrefour de Milon, est de profiter ainsi du parking ;
- le secteur situé au nord de la D46, entre les cotes 96 et 92, au sud du bois de la Vigne, est une propriété privée clôturée. Ne pas espérer pouvoir y passer ;
- carte : IGN Top 25, 2215 OT (Forêt de Rambouillet).
Il y a quelques mois ce site a changé d’hébergement, et donc d’adresse car l’ancienne était en free.fr. Jusqu’ici tout se faisait de façon transparente grâce à une redirection 301 mise en place sur mon espace web chez Free. En cas de changement d’adresse, la redirection 301 est l’unique bonne façon de procéder.
Malheureusement, les admins de Free ont semble-t-il décidé de jouer les BOFH, donc cette redirection 301 risque de se muer sous peu en une erreur 403…
Notez donc bien que l’unique adresse de ce site est désormais jacquet.xyz. Si vous aviez fait un lien vers moi sur le web, ce serait sympa de le mettre à jour (seul le domaine a changé, l’organisation interne du site est restée identique). Si vous êtes abonné au flux RSS, il faut peut-être également changer le domaine.
Pour en savoir plus sur les procédures en cours chez Free : 1, 2, 3, 4.
De même, notez les nouvelles adresses de mon site ferroviaire et de Sav’Hourra, celui de Séverine.
- Cours à l’École des mines par Jean-Marc Jancovici : Energie et changement climatique : Eléments de base sur l’énergie au 21e siècle. Je n’ai pas encore tout lu, mais cela me semble excellent (pour faire suite à ce billet)
- Canard PC teste des alims de PC, et ce n’est pas glorieux !
- Sur Google : Is Google Making Us Stupid?, The $25,000,000,000 Eigenvector, The Linear Algebra Behind Google
- Sur l’aqueduc de la Vanne, et en particulier le pont d’Arcueil : site détaillé sur l’aqueduc, pont d’Arcueil, page sur Structurae
- Superbe application de radio logicielle (SDR, Software Defined Radio), qui permet d’écouter via le web trois bandes radio-amateurs reçues aux Pays-Bas. La qualité est suffisante pour décoder chez soi des modes numériques (testé avec du PSK31) !
- Tableau complet des bandes de fréquence en France par l’ANFR
- Liste des relais radio-amateurs VHF/UHF en Île-de-France
- Page de journal de trafic à imprimer, pour radio-amateur, sur le site de Mégahertz Magazine
En France, un SMS coûte en général 12 centimes. 12 centimes pour transmettre 140 octets (160 caractères codés sur 7 bits). Cela semble intuitivement très cher, mais amusons-nous à calculer le prix d’une communication « voix » si elle était facturée sur la même base qu’un SMS.
La voix est transmise à un débit compris entre 5,6 et 13 kbit/s, sûrement plus proche désormais de la limite supérieure depuis le lancement du son « haute définition ». Disons pour simplifier les calculs que l’on ait du 8 kbit/s, soit 1000 octets par seconde.
Le prix d’un appel voix, sur la base du prix d’un SMS, serait donc… 51 euros par minute !
Quel serait le juste prix d’un SMS ? Sur la base d’un coût de la voix à 30 centimes par minute (tarif hors forfait chez mon opérateur), cela donne 0,07 centime par SMS. Même si nous ajoutons à cela un coût fixe lié au « routage » des données, nous restons à des lieues des tarifs pratiqués.
Je vous laisse juger du plumage en règle dont le consommateur est victime…
À l’occasion d’un déplacement professionnel pour présenter un papier à la conférence Memocode 2008 dans la banlieue de Los Angeles, j’en ai profité pour faire une semaine de tourisme en Californie… Ce billet présente un programme touristique d’une semaine en Californie ; je lui adjoindrai des titres vers des articles individuels lorsque ceux-ci seront écrits.
Mon voyage a été organisé autour de balades dans le parc de Yosemite, d’une visite de San Francisco, et d’un trajet le long de la côte pacifique. Programme :
- jour 1 : départ d’Anaheim (L.A.), petit tour rapide à Hollywood, et trajet jusqu’à Mariposa, à proximité (relative !) du parc de Yosemite. Pour faire une pause sur la route, le parc de Pyramid Lake a l’air accueillant,
- jour 2 : Vernal Fall et Nevada Fall dans Yosemite Valley,
- jour 3 : pied de Yosemite Fall dans Yosemite Valley, tour des séquoïas géants à Mariposa Grove,
- jour 4 : dans la Yosemite Valley, descente de Glacier Point (accessible en bus) via le Panorama Trail,
- jour 5 : trajet vers Palo Alto dans la Silicon Valley, visite du Computer History Museum,
- jour 6 : visite de San Francisco,
- jour 7 : trajet vers le sud, le long de la côte, via la Highway 1. Visite de Hearst Castle,
- jour 8 : suite du trajet vers le sud, selon horaire visite possible de Santa Barbara, arrivée à Los Angeles International Airport (LAX).
Mozilla Firefox 3 est sorti cette semaine, et mon extension Server Spy, récemment validée dans sa version 0.1.6, est compatible avec lui. La fondation Mozilla étant maintenant riche, elle peut se permettre d’offrir des goodies pour motiver les contributeurs aux extensions ; j’ai donc reçu un superbe T-shirt Mozilla Addons Development Team (voir ci-contre).
Séverine et son site Sav’Hourra sont à l’honneur cette semaine : un article sur Cocooking leur est consacré.
Quand on produit un film à gros budget, on pourrait se documenter un minimum :
- qu’un frigo doublé de plomb protège des radiations d’une bombe nucléaire est une chose, que ça le rende résistant à l’onde de choc et à une voltige de plusieurs centaines de mètres en est une autre… Et quand le passager de ce frigo indestructible se sort sans une égratignure de cette voltige…
- les LED n’ont été mises au point qu’en 1962. Donc des afficheurs numériques à 7 segments composés de multiples LED dans une scène censée se passer en 1957, c’est une erreur grossière.
Ceci mis à part, le film n’est pas mal, mais ce n’est pas le meilleur Indiana Jones.
Tristan Nitot signe aujourd’hui un billet intéressant sur la fin du pétrole, dont je partage globalement le point de vue. Ce qui me donne l’occasion de rebondir…
À l’heure où le prix du pétrole atteint des sommets, les différentes corporations touchées réclament du gouvernement des solutions. Céder serait une grave erreur, car il n’y a pas de solution, du moins pas dans le sens où l’entendent les représentants desdites corporations. Toute soi-disant solution ne sera qu’un artifice qui cachera la réalité (ère du pétrole cher et besoin profond de réorganiser la société de façon plus harmonieuse avec l’environnement), avec plusieurs effets pervers :
- poursuivre pendant encore quelques années des activités nocives pour la planète,
- grever le budget de l’état,
- faire accroire aux corporations qu’il y a une solution, alors qu’il n’y en a pas, jusqu’au jour où il faudra finalement regarder la vérité en face, et alors, plus dure sera la chute.
Dans le domaine des transports, qui peut encore prétendre que le transport routier à grande distance n’est pas une aberration ? Certes, les camions sont irremplaçables pour la desserte locale, mais ils n’ont aucune pertinence pour le fret interrégional. Imaginez qu’un seul train de 40 wagons transporte autant qu’une centaine de camions[1]… Au final, un train consomme 23 g de CO2 par tonne-kilomètre, contre au mieux 84 g/tkm pour un camion (dans le cas d’un 36 t)[2].
Aujourd’hui, l’UNOSTRA demande « des actes » pour aider le transport routier. Un vrai acte courageux, ce serait justement de ne pas céder, comme d’habitude, au lobby routier, mais plutôt de se lancer dans une transition rapide au fret ferroviaire, voire à une réduction pure et simple du fret. Bien entendu, cela entraînera de profondes modifications socio-économiques du secteur des transports, une bonne partie des salariés du transport routier devant se reconvertir, notamment dans le ferroviaire. Cela fera des mécontents, certes, et on les comprend. Néanmoins, avoir un programme sérieux pour l’avenir plutôt que de parer au plus pressé, cela s’appelle le courage politique…
Notes
[1] Communiqué de la SNCF, septembre 2007.
[2] The Greens – Newsletter de juillet 2007. Chiffres plus détaillés et légèrement différents sur le Rapport EcoTransIT de juillet 2005
Avec LaTeX, il n’est pas absolument évident de réaliser des tableaux à double entrée du type suivant :
Ce n’est pas très compliqué, mais il faut un peu d’astuce. C’est ce qu’explique ce billet.
Je viens de terminer l'antimanuel de philosophie de Michel Onfray. Cet ouvrage, a priori destiné aux élèves de terminale, s'adresse en réalité à quiconque veut acquérir ou réactualiser les bases de la philo. Il comprend des chapitres de « cours », ainsi que des textes de philosophes, classiques aussi bien que peu connus. Le traitement des sujets est original et impertinent : Onfray égratigne tour à tour l'institution éducative, les religions (on n'en attendait pas moins de lui), ou encore le monde politique...
Dans ce livre très agréable à lire, Onfray réussit à faire de la philo une matière vivante, essentielle même, et en aucun cas à la botte de l'ordre établi. De plus, s'adressant à des jeunes de 17 ans souvent en manque de repères, je trouve que cet ouvrage, empreint d'un formidable optimisme, est à même d'aider les ados à se construire ces repères, à attaquer leur vie d'adultes avec gourmandise et conviction. Morceau chosi :
L'irrationnel est un secours, certes, mais un secours ponctuel, car il ne tient pas ses promesses. En revanche, la raison peut être également secourable, mais plus sûrement : notamment lorsqu'elle se concentre sur la destruction des illusions et des croyances, des fictions créées par les hommes pour se consoler avec des arrière-mondes, des au-delà inventés, qui toujours dispensent de bien vivre ici et maintenant. [...] La philosophie fournit des moyens de s'approprier son destin, de se faire acteur de son existence, de se libérer des peurs inutiles et paralysantes — et non de s'abandonner, pieds et poings liés, comme des enfants, aux mythes d'hier ou d'aujourd'hui. Cessez de regarder les étoiles, votre avenir n'est inscrit nulle part : il reste à écrire — et vous seul pouvez en être l'auteur.